Pâques est passé, c’était l’ occasion de se régaler avec des œufs, fritures ou autres.
Découvrons d’où nous vient cette tradition d’offrir du chocolat pour cette fête.
(source: caminteresse.fr)
En chocolat, en sucre, peints ou encore cuits : l’œuf est le symbole de la fête de Pâques. Chez les Égyptiens, les Perses et les Romains notamment, l’œuf est un symbole de vie, que l’on s’offrait au printemps. Plus largement, poules et poussins ont également revêtu la même symbolique.
C’est au XVIIIe siècle que l’on a eu l’idée de vider les œufs pour les remplir de chocolat pour marquer la fin du jeûne et du Carême. Les premiers œufs tout en chocolat sont apparus au XIXe siècle, grâce au progrès des techniques permettant de travailler la pâte de cacao et aux moules proposant des formes de plus en plus variées.
Pourquoi les cloches ou les lapins ?
Depuis plusieurs siècles, il est interdit de sonner les cloches des églises catholiques entre le Jeudi saint et le dimanche de Pâques, en signe de deuil.
On a alors raconté aux enfants que les cloches allaient se faire bénir par le Pape à Rome. En rentrant, elles viennent carillonner et déposent au passage dans les jardins les fameux œufs en chocolat tant attendus par les enfants. En Allemagne et dans l’est de la France, c’est un lapin (l’emblème de la déesse Ost Ara, symbole de fertilité et du printemps), aux États-Unis, un lièvre… On trouve aussi des coucou ou des cigognes : le généreux donateur de chocolat peut prendre d’autres formes.
Finalement, peu importe qui cache les œufs, l’important c’est de se régaler !
Parce qu’il nous reste encore ce plaisir de déguster, se régaler, manger voici deux recettes à base de chocolat.
Il s’agit de recettes élaborées pour le trimestre de la solidarité 2016 de l’ARPAQ pour l’association « Céline et Stéphane: Leucémie Espoir 29 ». Pour cette occasion l’ARPAQ avait réalisé un livre intitulé « Gâteaux à gogo ». 560 livres avaient été vendus.